À compter du 1er juillet 2022, les titres permettant de se déplacer entre ces deux zones seront modifiés, avec pour principale conséquence une réduction de tarif importante pour les usagers occasionnels.
Mises au point
Le transport collectif est un service public subventionné qui ne génère aucun profit. En contexte de pandémie ou non, le financement du transport collectif suppose des budgets équilibrés.
L’ARTM tient à apporter les précisions suivantes concernant le Plan stratégique de développement, à la suite d’articles publiés dans les médias.
L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) tient à apporter les précisions suivantes à la suite de l’article « Les catacombes, un autre projet de 3,9 milliards » publié le 9 avril 2021 à la suite d’une entrevue avec le directeur général de la STM.
L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) souhaite corriger et clarifier les faits à la suite d’un article tendancieux du Journal de Montréal, publié ce 13 octobre 2020.
Le manque à gagner prévu résultant directement des effets de la pandémie est de l’ordre de 870 M$, incluant 740 M$ en recettes tarifaires, sur une période de trois ans (2020-2022). Il s’agit donc d’une crise majeure pour le transport collectif, qui frappe toutes les grandes villes du monde.
L’Autorité régionale de transport métropolitain et les sociétés de transport poursuivent leurs travaux afin d’en arriver à un plan financier triennal qui permettra de mitiger les conséquences de la chute d’achalandage dans le transport collectif, provoquée par la pandémie de la COVID-19.
La pandémie et les mesures de confinement prises pour y faire face ont entraîné une chute brutale de l’achalandage dans le transport collectif, à l’échelle métropolitaine. Alors qu’à la mi-mars les revenus tarifaires dépassaient légèrement les prévisions, ils ont par la suite fléchi de quelque 90 %, alors qu’augmentaient les coûts d’exploitation pour toutes les sociétés de transport.